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2017/11/30

A Paris

 Quelques croquis à Paris.

Parvis de Notre-Dame, pas chaud-chaud, le 23 novembre.
Contrairement aux apparences, Notre-Dame ne penche pas... et oui, oui, je l'avoue,  j'ai zappé un niveau, quelque part au-dessus de la rosace !
Quant aux proportions, hum...
Papier brun de récupération, issu du démontage d'un livre à l'atelier de reliure.

24 novembre, au café du Quai Branly : les jardins de Gilles Clément sont vaporeux dans la lumière d'automne.
Avec ma nouvelle boîte d'aquarelle, Aqua Mini de Sennelier. Légère, chic, pas (trop) chère, bonne idée de cadeau ! 
Attention : l'achat de boîtes d'aquarelle peut virer à l'addiction...


Et art contemporain au Palais de Tokyo, où je n'étais jamais allée. L'expo s'appelle Days are dogs (mais ça, c'est peut-être un renard...)

2017/11/27

Kimonos



Pour l'inspiration, trois détails d'un même kimono, absolument magnifique, exposé lors de la remise de prix à la Maison du Japon de la Cité universitaire internationale.
Plein de techniques différentes,  comme base une soie avec des motifs géométriques tissés en relief, teinture, peinture, dorure et (les motifs noir et blanc) minuscules tye and dye.



Et trois images d'un livre d'estampes du XIXème exposé à la Maison de la culture du Japon à Paris (Exposition A l'aube du Japonisme,  premiers contacts entre la France et le Japon au XIXe siècle, jusqu'au 20.01.2018). Chaque motif est superbe, mais ce qui me fascine c'est toutes ces accumulations et juxtapositions de couleurs et de motifs !

2017/11/10

Papillons

Un lac-lavoir quelque part sur un causse du Lot.

Les pierres à laver peuvent être de deux sortes : soit de simples dalles plates, soit, comme ici, en "ailes de papillon", deux pierres posées en V très élargi.
Ici, la particularité, c'est qu'il y a deux rangées de pierres à laver : une au fond (mais le lac a été aménagé et les pierres se retrouvent hors de l'eau, sur le muret !) et une au milieu du lac, pour les périodes de basses eaux l'été.
Il y a toujours plusieurs pierres l'une à côté de l'autre, parce que le lavage est souvent une activité collective des femmes : il faut pouvoir discuter. Le lavoir a toujours été un haut lieu de la sociabilité féminine !
Et ne me parlez pas du "bon vieux temps" !

2017/11/08